06.84.52.66.03 - Gisèle Talhouët, Naturopathe à Paris

Naturopathie et diététique

La nutrition

« Que l’alimentation soit ton seul remède » - Hippocrate

Alimentation et santé

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Lorsque vous posez la question « pensez-vous bien manger ? » Tout le monde ou presque vous répond « oui !». Or la plupart du temps, la qualité, la variété ou la quantité des aliments n’est pas appropriée.

Alimentation et poids

Nous sommes aussi souvent face à des personnes qui, suite à des régimes ou restrictions caloriques se trouvent en manquent d’acides gras de bonne qualité qui sont essentiels à la santé et en particulier à celle du système nerveux et du cerveau. Une alimentation non adaptée va au fil du temps provoquer des dysfonctions organiques entrainant des problèmes de santé… c’est pourquoi l’alimentation est primordiale et c’est ce que je corrige en 1er lors du Bilan Naturopathique.

Individualisation alimentaire

Personnellement je ne suis pas adepte des régimes qui induisent carences et frustrations ! A cela je préfère un rééquilibrage alimentaire qui passe par une prise de conscience d’une alimentation adaptée et individualisée.

Mastication

N’oubliez pas la base d’une bonne digestion et d’une bonne assimilation est la mastication : Mastiquez, mastiquez, mastiquez !!! Cela vous permettra en plus d’être plus vite rassasié et donc de moins manger… et par conséquence de perdre du poids progressivement sans trop d’efforts.

Qu’est-ce que l’alimentation vivante ?

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Les aliments vivants sont la nourriture fournie par la nature. Ils sont cultivés biologiquement et consommés dans leur état cru originel. Ils fournissent au corps une alimentation vivifiante et facile à digérer. Les fruits, les légumes, les semis trempés, les graines, les noix et plus particulièrement les pousses et les légumes verts dans leur état naturel, crus, réduits au mixeur et lacto-fermentés ou fermentés, ils deviennent une nourriture facile à digérer.

Ce sont ces aliments vivants qui sont utilisés pour nous équilibrer physiquement, mentalement, émotionnellement et spirituellement. Par conséquent, il y a une différence entre aliments vivants et la nourriture crue qui parfois peut être difficile à digérer pour certaines personnes.

Le régime de vie de l’alimentation vivante est une approche holistique. Ann Wigmore a enseigné ce style de vie pendant plus de 35 ans. Ceux qui sont prêts à changer ou adapter leur régime de vie peuvent apprendre des méthodes simples et bon marché de cultiver leurs propres aliments vivants à l’intérieur (indoor). C’est gagner en autonomie et apprendre à être à l’écoute des besoins de son propre corps.

Les causes de la maladie

Une déficience signifie que notre corps est mal nourri parce qu’il ne reçoit pas la quantité équilibrée de nourriture dont il a besoin.
En mangeant trop, nous surchargeons le système digestif ce qui peut promouvoir entre autre le développement d’allergies diverses et variées.

C’est pourquoi l’alimentation lacto-fermentée est intéressante car les aliments vivants sont ultra efficaces pour redonner la santé à notre corps à travers de l’auto-guérison.

La Toxémie est un terme pour décrire les « poisons » entreposés dans le corps. Les toxines sont formées par les aliments artificiels traités chimiquement mais aussi à partir d’émotions destructrices et/ou du stress.
Le corps peut se débarrasser de ces poisons entreposés en se nourrissant avec des aliments vivants, dans une forme facile à digérer. Une fois que le corps a éliminé ces poisons accumulés dans le système sanguin, les cellules deviennent capables de se nourrir et de permettre au système immunitaire de se fortifier et de se reconstruire afin de pouvoir protéger le corps contre les microbes et virus.

La façon dont on mange compte autant que ce que l’on mange !
Calme, bonne humeur et mastication sont 3 piliers d’une bonne assimilation des aliments…

Pourquoi manger bio ?

Manger bio: La garantie de manger plus sain

nutrition bio

C’est logique, comme les pesticides et autres produits phytosanitaires y sont interdits, la culture bio permet de limiter considérablement le nombre de résidus chimiques qui s’accumulent dans notre organisme. "De même pour les traitements antifongiques et conservateurs qui s’y trouvent en quantité infime, voire nulle, si l’on choisit des produits locaux et de saison. Les circuits de distribution étant aussi plus courts, il y a moins de risques de contaminations accidentelles. Contrairement à ce qui peut parfois arriver sur des produits provenant de pays où la réglementation est moins stricte et où il y a moins de circuits réservés pour la filière." Ni nitrates, ni métaux lourds, et pas d’OGM potentiellement nocifs ! Exit les antibiotiques (sauf exception), les hormones et les farines animales dans l’alimentation animale. Enfin, pas d’irradiation. Oui, vous avez bien lu ! Il s’agit d’une méthode de conservation utilisée pour certaines épices, les herbes aromatiques séchées et condiments.



Un concentré de bons nutriments

Côté teneur en nutriments, vitamines et sels minéraux, les études varient. Mais l’Organisation mondiale de la santé a reconnu que les produits bio en contiennent plus. Rien d’étonnant : les végétaux non traités renferment moins d’eau et plus de matière sèche à poids égal. Ils sont donc plus concentrés. Comme, la plupart du temps, ils sont récoltés à maturité, leur teneur en vitamine C et antioxydants est supérieure. Sous réserve qu’ils ne restent pas des semaines sur l’étal du supermarché ou dans le frigo ! Quant aux viandes, les animaux étant élevés plus longtemps que leurs copains de batterie, au grand air et sans stress, les protéines sont de meilleure qualité. Cela se voit vite quand les escalopes ne virent pas à la flaque d’eau grasse à la cuisson…

Un moyen de respecter l'environnement

Le bio, c’est un mode de production qui respecte les sols, les cycles naturels, les espèces locales plus adaptées, la biodiversité. Si les produits sont locaux, c’est encore moins d’énergie dépensée pour les produire et les transporter. Et du coup, moins de gaz à effet de serre. Un intérêt écologique, mais aussi économique. Un exemple ? Dans certaines régions où les populations d’insectes ont été décimées par les pesticides et la disparition des jachères, haies et talus, la pollinisation doit se faire manuellement ou en important des abeilles. C’est le cas pour les pommiers anglais, les amandiers américains et nombre de légumes cultivés sous serre. "Le coût de la pollinisation est de 153 milliards d’euros, déplore Nicolas Garcia. Aberrant ! Car si on la préserve, la nature nous rend gratuitement ce service." Chez nous, ce n’est pas mieux ! Dans un rapport, le Museum d’histoire naturelle a révélé que 25 % de la biodiversité a déjà été détruite dans les milieux agricoles…

Manger bio : Une autre façon de manger… et de moins jeter

Les produits bio sont plus chers : "Un surcoût de 20 à 30 % en moyenne, difficilement tenable pour beaucoup de foyers sauf si l’on change notre façon de consommer. Par exemple, il n’est pas nécessaire de manger de la viande ou du poisson tous les jours pour être en bonne santé, au contraire, et même chez les enfants. Avec le bio, c’est facile de manger des légumineuses et des céréales goûteuses, variées, riches en protéines végétales, et de réduire sa consommation de protéines animales. Meilleur pour la santé et bon pour l’environnement puisque, aujourd’hui, la production de viande est, à elle seule, responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre. Et puis, choisir des produits bio permet aussi d’avoir une consommation plus raisonnée et d’éviter le gaspillage.

« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » - Molière